Mobilisation générale contre la pédomaçonnerie

vendredi 20 septembre 2013

Divorce gay : une nuit de noce entre 2 hommes qui tourne au cauchemar ! #DivorcePourTous

Une discussion dégénère entre les 2 époux qui en viennent au main : l'un d'eux frappe l'autre violemment... Police, garde à vue et case prison...

divorce Pour tous

Il faut le lire pour le croire :

"La nuit de noce aura tourné court pour ce jeune couple gay d’Alençon. Dans la nuit de samedi à dimanche, alors qu’ils s’étaient dit oui quelques heures auparavant, une discussion a dégénéré entre les deux époux, tous les deux âgés de 22 ans. L’un d’eux a été violemment frappé à la tête. Interpellé, non sans mal, par les forces de police, le concubin a été placé en garde à vue au commissariat puis, jugé ce lundi devant le tribunal correctionnel, dans le cadre d’une comparution immédiate. L’homme n’était pas inconnu des services de justice. Son casier portait déjà la trace de quatre condamnations antérieures. Le tribunal l’a reconnu coupable des sept chefs de prévention qui lui étaient reprochés. Et malgré le soutien de son époux à l’audience qui souhaitait revenir sur sa plainte, le prévenu a été condamné à 2 ans de prison dont 6 mois de sursis avec mise à l’épreuve. Il a été écroué à l’issue de l’audience."
source : Salon Beige "Parodie de mariage, violence "conjugale" et atterrissage en prison"

La nuit de noces aura tourné court pour ce jeune couple gay d’Alençon. L’un des époux a violemment frappé l’autre, et a écopé de 18 mois de prison ferme.
Dans la nuit de samedi à dimanche, alors qu’ils s’étaient dit oui quelques heures auparavant, une discussion a dégénéré entre les deux époux, tous les deux âgés de 22 ans. L’un d’eux a été violemment frappé à la tête.
Interpellé, non sans mal, par les forces de police, le jeune marié a été placé en garde à vue au commissariat puis jugé ce lundi devant le tribunal correctionnel, dans le cadre d’une comparution immédiate.
L’homme n’était pas inconnu des services de justice. Son casier portait déjà la trace de quatre condamnations antérieures.
Le tribunal l’a reconnu coupable des sept chefs de prévention qui lui étaient reprochés. Et malgré le soutien de son époux à l’audience, qui souhaitait revenir sur sa plainte, le prévenu a été condamné à 2 ans de prison dont 6 mois de sursis avec mise à l’épreuve.
Il a été écroué à l’issue de l’audience.  (E&R)